(French text follows English text  -  Texte en français suit le texte en anglais)

 

 

 

 

 

 

 

L-R: Jim Thiessen, Radiocommunications and Broadcasting Regulatory Branch (DGRB); Colette Tremblay, DGRB; Mark Hanrahan, DGRB; Gilles Rathier, DGRB; Rhoda Bellamy, DGRB; Marcel Boivoin, Chief Information Office; Tom Jones, DGRB; John Kluver, DGRB; Lorraine Vandusen, DGRB; Stéphane Chartrand, DGRB; Kathleen McCrea, DGRB; Maggie Lackey, DGRB; Howard Chatterton, DGRB; Michel Milot, DGRB; Colette Trudel, Commercial Law Division.
Missing: Luc Lemieux, DGRB; Dave Dawson, DGRB from Headquarters in Ottawa; Robert Simpson, Atlantic Region; Joseph Rosso, Quebec Region; Dave Egilo, Ontario Region; Daniel Lemoine, Prairie and Northern Region; and Nigel Bell, Pacific Region.

 

De g. à dr. : Jim Thiessen, Réglementation des radiocom-munications et de la radiodiffusion (DGRR); Colette Tremblay, DGRR; Mark Hanrahan, DGRR; Gilles Rathier, DGRR; Rhoda Bellamy, DGRR; Marcel Boivin, Bureau de l'agent principal d'information; Tom Jones, DGRR; John Kluver, DGRR; Lorraine Vandusen, DGRR; Stéphane Chartrand, DGRR; Kathleen McCrea, DGRR; Maggie Lackey, DGRR; Howard Chatterton, DGRR; Michel Milot, DGRR; Colette Trudel, Section du droit commercial. Absent : Luc Lemieux, DGRR; Dave Dawson, DGRR de l'Administration centrale à Ottawa; Robert Simpson, Région de l'Atlantique; Joseph Rosso, Région du Québec; Dave Egilo, Région de l'Ontario; Daniel Lemoine, Région des Prairies et du Nord; Nigel Bell, Région du Pacifique.

 

 

Kathleen McCrea

Emergency Telecommnications Program Officer, Radiocommunications and Broadcasting Regulatory Branch

 

Kathleen McCrea

agente du Programme

des télécommunications d'urgence

Direction générale de la réglementation des radiocommunications et de la radiodiffusion

 

 

John Kluver

Emergency Telecommunications Officer Radiocommunications and Broadcasting Regulatory Branch

 

John Kluver

agent des télécommunications d'urgence Direction générale de la réglementation des radiocommunications et de la radiodiffusion.

 

 

2001

IC's Emergency Response Teams

Spring into Action
By Jessica Weirmier


As we sat watching scenes of senseless devastation beamed through our television sets from the September 11 terrorist attacks, our perception of international security changed forever. Coupled with many people's disbelief that such destruction could happen so close to home was a feeling of helplessness and a need to do something. Flowers and condolence cards piled up at the U.S. Embassy in Ottawa, lines lengthened at blood donor clinics across Canada, and Industry Canada's Emergency Telecommunications Operation Centre sprung into action.

 

When the wireless and wire line networks in New York and Washington became overloaded and physically damaged, Industry Canada activated its Emergency Telecommunications Operation Centre in close cooperation with all Canadian telecommunications companies to exchange essential information and facilitate mutual aid response between Canada and the United States. A high frequency radio link was established between IC Ottawa and the U.S. National Communications System (NCS) in Arlington, Virginia.

 

Wireless cells near airports and the Canada–U.S. border became overloaded and additional channels were requested. Many requests for radio frequencies were made to our Emergency Telecom offices across Canada. Our Automated Licensing System was maintained 24 hours a day for further assignments or radio frequency interference investigations.

 

Industry Canada also helped Canada's telecommunications industry deliver badly needed equipment and supplies across the border. The U.S. government, Teleglobe, AT&T Canada and Sprint Canada asked for emergency telecommunications collaboration in sending telecommunications equipment, personnel, mask respirators and other emergency items that were no longer available in New York.


Canadian national carriers operated on a high security mode to protect critical infrastructures, and information from the government on possible threats to the industry was constantly revised. The NCS and members of Canadian industry asked for our participation to send telecommunications and safety equipment from Ottawa, Montréal and Toronto to New York and received many offers of help from carriers and suppliers across Canada.

 

When it seemed the world was crumbling before our eyes, Industry Canada's Emergency Telecommunications Operations Centre was a solid source of assistance to the people needing it most. Disasters can happen anytime and anywhere, and Industry Canada's Emergency Telecommunications Operation Centre proved it can help keep relief efforts running smoothly. Argus salutes IC's Emergency Response teams for their heroic efforts, and thanks them for their tireless work during September's crisis.

 

2001

Les équipes d'intervention d'urgence d'IC

au cœur de l'action
par Jessica Weirmier

 

Devant les scènes de dévastation insensées retransmises par la télévision à la suite des attentats terroristes du 11 septembre, notre perception de la sécurité internationale a changé à tout jamais. À la difficulté de croire qu'une telle destruction ait pu se produire si près de chez nous s'ajoutent un sentiment d'impuissance et un pressant besoin d'agir. L'ambassade des États-Unis à Ottawa a été inondée de fleurs et de cartes de condoléances; partout au Canada, les gens faisaient la file pour donner du sang et le Centre des opérations des télécommunications d'urgence d'Industrie Canada est passé à l'action.

 

Lorsque les réseaux sans fil et les réseaux de télécommunications de New York et de Washington sont devenus saturés et hors service, le Ministère, en étroite collaboration avec toutes les entreprises canadiennes de télécommunications, a activé son Centre des opérations des télécommunications d'urgence afin d'échanger de l'information essentielle et de faciliter l'entraide entre le Canada et les États-Unis. Une liaison radio à haute fréquence a été établie entre Industrie Canada à Ottawa et le National Communications System (NCS) des États-Unis à Arlington, en Virginie.

 

Les cellules sans fil voisines des aéroports et de la frontière canado-américaine étant devenues saturées, il fallait d'autres canaux. Les bureaux des télécommunications d'urgence au Canada ont reçu de nombreuses demandes de radiofréquences et le Système de licence automatisé a été maintenu 24 heures sur 24 en vue d'assignations supplémentaires ou d'enquêtes sur les brouillages radioélectriques.

 

Industrie Canada a également aidé l'industrie canadienne des télécommunications à livrer le matériel et les fournitures dont les États-Unis avaient grand besoin. Le gouvernement des États-Unis, Téléglobe, AT&T Canada et Sprint Canada ont demandé une collaboration en matière de télécommunications d'urgence pour l'envoi de matériel de télécommunications, de personnel, de respirateurs (masques) et d'autres articles d'urgence devenus introuvables à New York.

 

Les transporteurs nationaux canadiens ont renforcé leurs mesures de sécurité pour assurer la protection des infrastructures essentielles et le gouvernement révisait constamment l'information concernant les menaces pesant sur l'industrie. Le NCS et l'industrie canadienne nous ont invités à participer à l'envoi de matériel de télécommunications et de sécurité à New York à partir d'Ottawa, de Montréal et de Toronto. Ils ont par ailleurs reçu de nombreuses offres d'aide de transporteurs et fournisseurs au pays.

 

Alors que le monde semblait s'écrouler sous nos yeux, le Centre des opérations des télécommunications d'urgence d'Industrie Canada a été une source fiable d'aide aux personnes qui en avaient le plus besoin. Des catastrophes peuvent frapper partout, n'importe quand, et le Centre a prouvé qu'il pouvait aider à assurer le bon déroulement des secours. Argus salue les équipes d'intervention d'urgence du Ministère pour leurs efforts héroïques et les remercie de leur travail inlassable pendant la crise de septembre.

 

 

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