2001
April 20 to
22
Summit of the Americas
Québec City, Quebec
This spring, the 34
democratically elected heads of government from North, Central and South America and the Caribbean will gather in Québec City for the third Summit of the Americas. This year’s summit will mark the
culmination of a period in which Canada has strongly reaffirmed its
identity as a nation of the Americas and as a busy crossroad for our
hemispheric friends and neighbours. At the 2001
summit, leaders will address common challenges including economic integration,
improved access to education, poverty alleviation, enhanced respect for human
rights and democratic development.
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2001
Du 20 au 22 avril
Sommet des Amériques
Québec (Québec)
Au
printemps, les chefs de gouvernement démocratiquement élus de 34 pays de
l'Amérique du Nord, de l'Amérique centrale, de l'Amérique du Sud et des Antilles
se réuniront à Québec pour le troisième Sommet des Amériques. Cette année, le
Sommet marquera le point culminant d'une période au cours de laquelle le Canada
a vigoureusement réaffirmé son identité en tant que pays des Amériques et
carrefour dynamique pour ses voisins et amis de l'hémisphère. Pendant le Sommet,
les dirigeants discuteront de problèmes communs, notamment l'intégration
économique, l'amélioration de l'accès à l'éducation, la lutte contre la
pauvreté, la promotion des droits de la personne et l'essor de la démocratie.
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Beyond the Barricades
By Lise Fournier
This year's Summit of the Americas in Québec City from April 20 to 22 brought
together 34 heads of state to discuss important economic and social development
issues. You might not know that, apart from these high-profile meetings and the
protests they generated, the Summit of the Americas also involved a Spectrum Search
Coordination Centre.
A dynamic team from the
Spectrum, Information Technologies and Telecommunications Sector was assembled
to operate the frequency monitoring centre, which was set up in one of Industry Canada’s Quebec Region service centres.
But
why?
It was only natural that
organizing a major event like the Summit would require massive use of the
spectrum since the available bandwidth would not only have to meet the needs of
many radio and television broadcasters and thousands of cell phone users, but
also involve frequencies for emergency and security purposes, as well as
confidential and even secret frequencies for certain national delegations.
During the Summit, the team worked around the clock,
monitoring spectrum frequencies in order to counteract deliberate jamming or misuse
of the frequencies and provide assistance to the public-safety organizations
involved in the Summit. The team used a direction-finding
system to identify the transmission of radio signals on a computer screen.
Specifically set up to
facilitate the smooth functioning of the Summit of the Americas, this
direction-finding system consisted of three listening posts located in Pintendre, Charlesbourg and
Sainte-Foy, three mobile units circulating in certain areas of the Greater
Québec Area, and a laboratory stationed in the Citadel of Old Québec City.
With the telecommunications
equipment loaded in these mobile units, team members were able to monitor,
respond and follow up in the field.
Another of the team’s key
functions was to select and assign other transmission channels to users in
emergency situations.
Congratulations to the
entire Summit of the Americas Spectrum Search Coordination Team on a job
well done!
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Au-delà des
barricades
par
Lise Fournier
Du 20 au 22 avril
2001, Québec a accueilli 34
chefs d'État des Amériques dans le cadre du Sommet des Amériques. Mis à part
les grandes personnalités, les enjeux économiques
et sociaux
et les manifestations, le Sommet des Amériques était aussi un
centre opérationnel de coordination de recherche du spectre.
Le centre comprenait une équipe dynamique du Secteur du spectre,
des technologies de l'information et des télécommunications qui était chargée
d'exploiter le centre de surveillance des fréquences, installé dans un des
centres de service d'Industrie Canada de la région du Québec.
Pourquoi?
Parce que la demande de
fréquences du spectre, vous l'imaginez bien, était plus qu'importante
pour un tel sommet –
fréquences pour la radio et la télédiffusion, fréquences pour les milliers de
téléphones cellulaires transmettant de l'information, fréquences réservées à
toutes les fins d'urgence et de sécurité et, bien sûr, fréquences
confidentielles, voire secrètes, réservées aux délégations.
Le travail des membres de
l'équipe, de service jour et nuit, consistait à
surveiller les
fréquences du spectre afin
de faire échec à des
brouillages volontaires ou à une mauvaise utilisation et d'épauler les
organismes de sécurité publique. Un
système de radiogoniométrie permettait de détecter la direction d'un signal
radio sur un écran d'ordinateur.
Ce système de radiogoniométrie, installé pour le
Sommet, possédait trois centres d'écoute fixes dans les municipalités de
Pintendre, de Charlesbourg et de Sainte-Foy. Quatre unités mobiles circulaient
en certains points de la région métropolitaine et
un laboratoire était stationné à la Citadelle de Québec, à l'intérieur des remparts.
Les
membres de l'équipe veillaient à bord
de ces véhicules munis d'appareils de télécommunication et assuraient les interventions et les suivis sur le
terrain.
La capacité de sélectionner et d'assigner
d'autres canaux de transmission en cas d'urgence constitue une autre fonction de
l'équipe, essentielle
à la bonne marche d'une telle opération.
Félicitations à toute
l'équipe de coordination de recherche du
Spectre du Sommet des
Amériques pour son magnifique travail!
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