Best-kept secret

Canadian secret intelligence

in the second world war

Text from John Bryden of Lester Publishing.

Le secret le mieux gardé

Service canadien de renseignements

durant la 2 ième guerre mondiale

Texte de John Bryden de Lester Publishing.

Everything depended on the quality of equipment, the personnel and speed.

 

U-boat messages were notoriously brief - as little as twenty-two seconds.

 

An operator might spend hours hunched over his radio set, his head clamped in padded earphones, ears numbed by an incessant hiss.

 

Then suddenly the static would leap to life in staccato of Morse code.

 

The man's hand would slam onto a buzzer and an assistant would jump to the teletype machine, banging the frequency numbers out on the keys.

 

Within a couple of seconds, the person in Bermuda would begin his ( D.F.) search.
 

Cartoon by Walter Howard circa 1940   

Laval D
esbiens - April 2003

 

Il fallait un équipement de qualité, de bons opérateurs et une certaine célérité.

 

Les messages des sous-marins "U-boat" étaient très brefs -  tout au plus vingt-deux secondes.

 

L' opérateur pouvait passer des heures, la tête serrée entre  des écouteurs coussinés, les oreilles  engourdies par un bruit incessant quant, tout à coup, arrivait une bourrée de code Morse.

 

À l'instant, il devait presser le bouton d'alarme pendant que son assistant tapait les informations de fréquence sur le clavier du téléscripteur.

 

En quelques secondes, aux Bermudes, débutait la recherche (gonio).
 

Cartoon/dessin de Walter Howard circa 1940   

Laval D
esbiens - Avril 2003

 

 

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